Enfin! Le bilan scolaire après une année sur la route: 6e année du primaire, 2e et 4e secondaire!


Stay wild... ça dit tout! Et ce, malgré les défis!

Le bilan de l’école, je devais le faire il y a déjà quelques mois, mais le temps a passé beaucoup trop vite.  Pourtant, je sais qu’on cherche souvent cette information quand on planifie un voyage à long terme avec des enfants. D’autant plus qu’il est plutôt rare d’avoir des retours d’expériences sur la scolarité en voyage avec des ados.

Alors, enfin, je prends le temps

Le temps a tout de même l’avantage de nous donner davantage de recul. On a même déjà reçu le 2e bulletin de l’année scolaire.

Alors, durant notre année en voyage, comme on a 4 filles, on devait couvrir 4 années scolaires différentes : 6e année, 2e secondaire, 4e secondaire et 1e année de cégep.

Pour le cégep, Alixia a déjà fait le bilan, à notre retour au Québec. En bref, lorsqu’on est capable de se discipliner, c’est relativement facile de faire quelques cours lorsqu’on est en voyage. Avec Cégep à distance, tout le matériel est fourni et les examens ont lieu en fonction des disponibilités de l’élève.

L’école en voyage durant la 6e année du primaire

Partir pour l'école... sur une plage en Californie!
Pour ce qui est de la 6e année du primaire, on l’avait déjà vécu avec Alixia, lors de notre année sur l’eau. On savait donc à quoi s’attendre. Florane a donc effectué les exercices dans ses cahiers pédagogiques pour les différentes matières du programme scolaire et cela a couvert la majorité de la matière vue habituellement en classe. Contrairement, à notre première année en voyage, je n’avais pas prévu d’autres projets scolaires, et je n’ai pas non plus demandé à Florane de faire plusieurs productions écrites en lien avec nos différentes visites et découvertes en voyage…    Lorsqu’Alixia a fait sa 6e année en voyage, elle avait terminé l’année avec une écœurantite aiguë de toutes mes demandes… Et elle nous avait clairement mentionné qu’elle ne referait plus jamais de l’école avec nous, si on devait superviser son année scolaire.  J’ai donc essayé d’être moins intense avec Florane, mais par moment, je me suis questionnée à savoir si on lui en demandait assez.

Le défi de faire de l'école sur la route... Luna trouve ça ennuyant!

Elle a complété tous ses cahiers pédagogiques et elle lisait et écrivait tous les jours. C’est l’un des grands avantages en voyage. On lit et on écrit sur une base régulière; ce n’est pas de l’école… c’est juste une façon de terminer nos journées!

école et surf... la belle vie!

Comme on revenait en juin, je pensais que Florane réaliserait plusieurs évaluations en mathématique, que j’avais obtenues par l’un des profs de 6e année. Finalement, manque de motivation de part et d’autre, après 2 évaluations, Florane m’a dit que c’était vraiment beaucoup trop long…   Euh, oui! C’est pas mal ça que les élèves vivent à l’école! Il faut dire que les évaluations que j’avais sont effectivement un peu plus longues et complexes que ce qu’ils font à l’école, mais Alixia les avait toutes faites, alors, je pensais que Florane en ferait plus que 2… Mais, non.

(À noter que Florane n’avait aucun examen obligatoire à faire au retour selon la nouvelle réglementation du ministère de l’Éducation. Contrairement à la dernière fois où l'on est partis durant un an (2016-2017), lorsqu’on sort du pays, on n’est plus assujettis à la loi de l’instruction publique, donc, il n’y a pas d’évaluation, mais on est aussi laissé à nous-mêmes.)

Je me suis demandé si Florane aurait de la difficulté avec les évaluations en faisant son entrée en secondaire 1… car, même si elle maitrisait les notions, encore faut-il être capable de rester assis et concentré durant de longues minutes.

Finalement, l’entrée au secondaire s’est faite sans problème pour Florane. Même si le cadre est toujours un des éléments déstabilisants après une année en voyage, l’autonomie qu’on gagne à être scolarisé à distance compense. D’ailleurs, ma réflexion avait été la même, il y a 6 ans. C’est un bon moment de «revenir» en secondaire 1, car c’est du nouveau pour tous les jeunes et c’est aussi le moment pour se faire de nouveaux amis. C’est une période de transition et d’adaptation pour tous les élèves, alors, que ce soit le simple passage de 6e année au secondaire, ou le passage de la vie en voyage au retour à l’école dans une école secondaire, ça revient sensiblement au même! 

Comme Florane est dans un programme de théâtre, elle a toujours au minimum un cours par jour où elle n’est pas dans un contexte de cours magistraux. Je crois que ça aide aussi… Il y a toujours de l’action et de nouveaux projets.

Et du côté académique? Aucun problème! Même si, selon mon point de vue, Florane n’avait pas travaillé si fort l’an passé, elle a d’excellents résultats scolaires.   Lorsqu’on voyage sur une longue période de temps, il y a une compréhension globale de la vie qui facilite les apprentissages scolaires par la suite… Compréhension de notre monde, et du monde!

Bref, partir en voyage en 6e année, selon mon point de vue, c’est relativement facile! (Bien sûr, lorsque notre enfant n’a pas de difficulté d’apprentissage particulière.)  Tout comme le retour!   

L’école en voyage durant la 2e année du secondaire

Avoir la paix pour se concentrer...

Maintenant, le secondaire 2! On savait que c’était un défi supplémentaire, d’autant plus que l’on sait que Daphné n’aime pas particulièrement l’école. La 2e année du primaire avait été un défi, donc on imaginait ce que serait la 2 année du secondaire. La différence toutefois c’est qu’à cet âge, Daphné était bien consciente que ses apprentissages auraient un impact à son retour.

Elle aussi avait des cahiers pédagogiques pour l’ensemble de ses matières. Même si elles sont toutes importantes, on sait toutefois que l’effort doit être concentré en mathématiques, car c’est dans cette matière qu’il y a davantage de nouvelles notions. Si l’on ne les connait pas, il est difficile de passer au second niveau. Daphné a travaillé principalement de façon autonome, en avançant à son rythme dans ses cahiers. Rapidement, toutefois, elle nous a dit : j’ai tout fini… Ah bon… 

En regardant ses cahiers, on a vite remarqué qu’elle passait par-dessus ce qu’elle ne comprenait pas!  C’est justement là qu’il faut mettre des efforts! 

À notre gang, on finit par comprendre!

Pour les nouvelles notions en mathématique, Eric et moi, on était là pour pouvoir lui expliquer. Mais, l’aide de Charline et Alixia a aussi été précieuse, car elles connaissent le langage actuel de ces notions. Bref, elle pouvait recevoir les explications sous différentes formes!  C’était sensiblement la même chose en science. Les passages plus complexes étaient revus principalement avec Eric.

Et pour le français?  Daphné n’aime pas cette matière encore moins les cahiers d’exercices!  Ça a été un véritable défi de la faire avancer dans cette matière!  Je prends tout de même un grand plaisir à expliquer les règles de grammaire, explications qui sont bonnes pour les 4 filles! Comme les fameuses règles d’accord du participe passé avec avoir et être!  Alors, oui, on a fait un peu de grammaire… mais dans l’ensemble, on a fait très peu de français. On n’avait pas envie de se battre avec aucune de nos filles et clairement, cette fois-ci, ça ne marchait pas… Malgré tout, Daphné écrivait aussi presque tous les soirs et lisait aussi parfois en français, parfois en anglais…

Car pour l’anglais, le combat a aussi été le même. Malgré un beau gros cahier pédagogique, Daphné a fait quelques exercices ici et là, mais sans plus… Heureusement, pendant près de la moitié de notre année, on était dans un environnement anglophone. Daphné lisait aussi en anglais et écoutait des films en anglais.



Et le retour?  Comme si de rien n’était!

Vraiment… son prof de math ne pouvait pas se douter qu’elle n’avait pas fait officiellement ses maths de 2e secondaire. Elle maitrisait ses notions de base mieux que la majorité de la classe… tant mieux!

Dans les autres matières, rien n’a paru non plus. Je pensais qu’en français, elle aurait plus de difficulté, mais non! Les résultats demeurent excellents…  On dirait même qu’elle s’est améliorée davantage que si elle était restée sur les bancs d’école…  Ça nous amène parfois à nous questionner…

Daphné a pu réintégrer son programme de danse, ce qui a permis aussi de faciliter le retour. La danse, c’est aussi extraordinaire que le voyage… Bon… peut-être pas autant que le surf, mais peut-être que oui?!  Mais, c’est certain que si elle n’avait pas pu retrouver sa gang de danse, le retour aurait été différent… Daphné était prête à prendre le risque. Mais, ça démontre aussi que c’est important d’avoir de bonnes relations avec tout le personnel scolaire et de discuter de nos projets de voyage plusieurs mois à l’avance. C’est certain que ça facilite le retour dans bien des cas.

Donc, la question de manquer une année scolaire au secondaire nous inquiétait un peu lorsqu’on a commencé à planifier notre année… mais, dans les faits, s’il y a une année «idéale» où l’on peut être scolarisé en voyage, eh bien, c’est en secondaire 2!  L’entrée au secondaire a été faite en même temps que tout le monde, et, on n’a pas encore à faire des choix pour les maths et les sciences. Choix qui sont faits durant le 3e secondaire pour le 4e secondaire.

(Daphné n’avait pas non plus d'examen obligatoire à faire au retour selon la nouvelle réglementation du ministère de l’Éducation. Contrairement à la dernière fois où l'on est partis durant un an (2016-2017), lorsqu’on sort du pays, on n’est plus assujettis à la loi de l’instruction publique, donc, il n’y a pas d’évaluation, mais on est aussi laissé à nous-mêmes.)

Et le secondaire 4 en voyage?!  Ouf! Tout un défi!


Enfin, le 4e secondaire. Si on avait pu, on aurait évité que Charline soit absente durant son secondaire 4. Mais, si on partait une année plus tôt, c’était Alixia qui s’absentait pour son 5e secondaire, (avec tout ce qui va avec: collation des grades, bal…) et une année plus tard, c’était Charline qui s’absentait pour son 5e secondaire. Après analyse et discussion, ce n’était pas une option de faire manquer le 5e secondaire à l’une de nos filles. C’est la fin d’une étape qu’elles souhaitaient vivre avec leurs amis… Dans la planification d’un voyage avec des ados, on n’a pas non plus le choix de respecter leurs besoins et désirs.

Alors, il nous restait l’option que Charline s’absente durant son 4e secondaire. On savait que le défi était de taille, d’autant plus qu’elle souhaitait rester à son école qui a des exigences élevées. Elle voulait aussi poursuivre avec les maths et les sciences fortes.  

Lorsqu’on avait visité cette école, alors que Charline était en 6 année, un membre du personnel nous avait dit : ici, les apprentissages sont faits, afin que les élèves soient autonomes et responsables de leur propre apprentissage en 4e et 5e secondaire. Ah oui?! Ces paroles n’étaient pas tombées dans l’oreille d’une sourde. Nous, on avait déjà le projet de repartir, alors ces mots m’ont réconfortée…  À ce moment! 

Mais, je savais que Charline avait la discipline pour réussir par elle-même. On avait aussi la chance d’avoir Alixia avec nous, qui était passée par là deux ans plus tôt, pour les maths, mais pas pour les sciences. J’avais donc le « corrigé » en math: le livre d’Alixia et par des amis, j’avais aussi « le corrigé » en science, c’est-à-dire le cahier pédagogique fait et corrigé… mais on a réalisé que tout n’était pas toujours bien rempli. On avait donc un corrigé incomplet.

On est donc partis confiants, mais en étant conscients de la charge de travail.

On a eu notre lot de stress, avec les différents changements de direction à l’école. Les ententes qui avaient été prises un an avant notre départ n’existaient plus. Heureusement la nouvelle direction a été des plus collaboratrices. De commun accord, il avait été décidé que Charline mettrait son énergie sur les sciences, mathématiques et l’histoire: les 3 matières évaluées par le MEQ à la fin du 4e secondaire, dont la réussite est essentielle pour l’obtention du diplôme d’études secondaires.

Beaucoup de concentration... mais, au moins, la vue est belle!

Charline a donc travaillé extrêmement fort, a écouté de très nombreuses vidéos afin de comprendre la matière. À ce niveau, Eric et moi, on ne pouvait plus vraiment l’aider. Alixia venait en renfort en mathématiques, mais même si elle comprenait les notions, ce n’était pas toujours évident de les expliquer… Parfois, oui, parfois non.

Je pensais que Charline aurait pu obtenir des explications de ses amies, mais finalement, elle m’a dit : « quand on s’écrit ou qu’on se parle, on n’a pas envie de parler d’école… » Ah bon. Je comprends, mais en même temps, elles avançaient dans la même matière, avec un prof pour leur expliquer les notions plus complexes.  Alors, non, elle n’a pas eu d’aide de personne…

Tranquillité à El Trampolin

À partir du 1er mai, on l’a laissée être totalement dans sa bulle.  Et elle a travaillé du matin au soir, tous les jours : math et science principalement.

Réviser dans un verger...

Elle devait tout de même à travers tout ça réviser aussi toutes les notions en histoire.

C’était complexe. Elle n’avait aucune idée des notions à privilégier… J’ai réalisé que j’avais fait une grande erreur, dans ma confiance absolue en elle. J’aurais dû engager un tuteur, peut-être deux heures par mois, qui lui aurait donné une direction à prendre, qui lui aurait dit quelles notions étaient à privilégier. Peut-être même que j’aurais pu engager un prof de l’école?!

Elle a été vraiment extraordinaire de passer à travers toute la matière une seconde fois pour son étude… Elle qui était si stressée durant ses 3 premières années du secondaire, gérait tout ça avec le plus grand calme.

Fin mai avait lieu son premier examen «école» en math. Une situation complexe… Très complexe. On avait beaucoup parlé avec elle afin d’essayer d’éliminer le plus de stress possible. Si elle ne réussissait pas, ce n’était pas la fin du monde après tout. Elle aurait gagné beaucoup en faisant tous ces apprentissages par elle-même. Mais, dans mon cœur de mère, je me disais qu’elle ne pouvait pas échouer après tout ce travail… ça serait vraiment injuste…

À la sortie de son examen, Charline m’a dit que souvent elle disait : je vais échouer, mais qu’au fond d’elle, elle savait qu’elle réussirait… mais cette fois-ci… elle pensait bien échouer… vraiment. Plusieurs personnes avaient éclaté en sanglots durant l’examen, tellement c'était difficile, et elles avaient eu un prof toute l’année.   On verrait bien.

Elle n’avait pas le temps de s’apitoyer sur son sort, elle avait les examens de sciences, d’histoire et un autre examen en math qui s’en venaient.

J’ai trouvé un tuteur en Histoire afin de la soulager un peu. Un deux heures bien investi qui lui a confirmé qu’elle était dans la bonne voie. Côté histoire, elle avait une bonne connaissance globale et une excellente compréhension.

Pour sciences, en mai, aucun tuteur n’était disponible. Elle a donc continué son étude en solitaire.

Et on avait bien hâte que le premier résultat de math arrive…  Après une dizaine de jours d’attente…  66%! Ouf! J’ai fait une danse dans ma cuisine!  Dans un autre contexte, Charline aurait été vraiment déçue d’une telle note, mais là c’était la fête!  Tout ce qu’elle souhaitait c’était la note de passage!  Et c’était réussi!  Tout à coup, ça la rendait plus légère! La réussite était possible! 

Et les autres examens ont eu lieu… Sciences. Malgré le défi de taille, elle est ressortie de l’examen plutôt confiante : je n’aurai pas 100%, mais ça ira…   Les notes sont vite sorties, le prof attitré à la correction de sa copie lui a fait un drôle de commentaire: "Je ne comprends pas vraiment comment ça se fait que tu aies une meilleure note que plusieurs de mes élèves qui étaient dans mes cours toute l’année…"  Ça voulait dire Félicitations?!  Ensuite, un second examen de mathématiques, cette fois-ci celui du Ministère.  Encore une fois, Charline ne pouvait pas être certaine de toutes ses réponses, mais ça irait, assurément. Et elle a eu un excellent résultat.

Histoire: l’examen s’est bien passé, mais sa note a tardé à arriver car celle-ci passe par le MEQ… Et on ne sait pas trop pourquoi mais l'école ne pouvait pas nous donner cette note... Après plusieurs appels, on a réussi à obtenir sa note, en juillet : réussite avec un autre excellent résultat. Yé.

Énormément de travail… Elle a réussi. Mais, tout n’était pas gagné, car comme elle ne faisait pas d’examen pour les autres matières, c’est sa réussite en secondaire 5, qui lui donnera sa réussite pour ses cours de 4.

Je me demandais bien comment ça irait dans ses autres matières à la rentrée scolaire…

2 bulletins plus tard, elle réussit très bien, partout. Anglais, comme français, en chimie comme en physique, tout comme en math!  Et en plus, Charline est zen comme jamais. On dirait que notre année en voyage, lui a donné une autre perspective face au résultat scolaire, face aux examens… et en étant moins stressée, elle réussit mieux.

C’est quand même étonnant… encore une fois, même si je ne recommanderais à personne de s’absenter durant tout le secondaire 4, on dirait que les bénéfices ont été nombreux… 

Et si c’était à refaire? J’engagerais un tuteur sur une base mensuelle, juste pour donner certains barèmes, certains alignements. Car, toute l’année, Charline a été très disciplinée et a travaillé très fort, mais les mois de mai et juin, ont été à mon avis, un peu trop intense. En sachant quoi étudier, elle aurait mis son énergie à la bonne place…    Mais, tout ça, ça fait partie des apprentissages!

Alors, le secondaire en voyage?!

Alors, en conclusion, partir pendant le secondaire: oui, c’est possible! Est-ce simple? Pas toujours! En secondaire 2, je dirais que globalement, lorsqu’un enfant réussit bien avant, s’il fait ses exercices dans les cahiers pédagogiques, qu’il lit et écrit régulièrement, il réussira bien aussi après!

En secondaire 4, c’est une autre histoire. Il faut vraiment que notre ado soit motivé à partir en voyage et soit totalement conscient des concessions à faire. C’est beaucoup de travail, mais c’est possible. C’est plus simple, si notre ado ne veut pas nécessairement faire ses maths et sciences fortes, mais l’autre option est aussi possible, mais avec davantage de travail.

Dans tous les cas, afin que le retour se passe bien, il est toujours préférable d’avoir eu des discussions plusieurs mois à l’avance avec les directions d’école. Le respect de leur réalité permet aussi de faciliter les discussions en notre absence.

Pour le secondaire 4, c’est complexe de s’absenter, car il faut obligatoirement qu’il y ait reconnaissance des acquis pour l’obtention du diplôme d’études secondaires. Il faut donc s’assurer d’avoir un bon lien avec la direction. Ils sont souvent débordés, on ne doit donc jamais être dernière minute dans nos demandes.

Mais… tout est possible!

Et pour un matin d'école ainsi... et voir ces tortues si confiantes, ça vaut bien toutes les embûches!


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